Ces
dernières années, la recherche a montré
les effets positifs de la ferveur religieuse, de la foi, de
la spiritualité, de la prière, du pardon, de
l'espérance et de la fréquentation d'une Église
sur la santé, y compris la santé mentale. Un
grand nombre de publications scientifiques ont évoqué
le lien existant entre foi religieuse, mental positif et bien-être
émotionnel. Surprise!
Il
n'y a là rien de magique ; le facteur " foi
" ne s'applique qu'aux croyants profondément engagés
dans leurs principes religieux. Le psychiatre Montagu Barker,
spécialiste de la relation entre la religion et la
santé mentale, affirme que la religion protège
puissamment des maladies mentales, mais seulement dans le
cas cité ci-dessus. Sinon, la religion peut être
source de culpabilité et de troubles émotionnels,
mentaux et comportementaux.
Cette
semaine, nous abordons le plus bel exemple qui soit, Jésus,
pour apprendre comment acquérir une foi très
profonde. En étudiant sa vie et en maintenant une relation
intime avec lui, on met en place de solides reflexes de croissance
spirituelle, qui eux-mêmes sont facteurs de santé
mentale.
La
prière et l'étude de la Bible, l'adoration,
la pratique du pardon, l'esprit de service, l'espérance
et la confiance en Dieu sont des voies sures qui conduisent
à la maturité spirituelle et à la santé
mentale. Avec Jésus comme modèle, nous ne nous
égarerons pas.
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Etudiez cette leçon pour le sabbat 26 mars "
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