Vendredi 13 mai, 2011

 

Lisez Ellen WHITE, Patriarches et prophètes, " Péché et repentir de David ", p. 695-704; Education, " Les biographies bibliques ", p. 179.

" Le repentir de David est profond et sincère. Il ne fait pas le moindre effort pour pallier son crime. Sa prière ne trahit aucun désir d'échapper au châtiment dont il est menacé. Il voit l'énormité de sa chute devant Dieu. Il voit la souillure de son âme. Il abhorre son péché. Ce n'est pas seulement le pardon qu'il demande, mais la pureté du cœur. D'autre part, il ne s'abandonne pas au désespoir. Il voit dans les promesses divines au pécheur repentant la preuve de son pardon et de la faveur du ciel restituée [...]

David tomba, mais Dieu le releva. Des lors, plus qu'auparavant, il vécut près de Dieu et de ses frères [...]

Toute âme qui, reprise par Dieu, reconnait ses fautes et consent à les confesser humblement relit être assurée qu'il y a pour elle de l'espoir. Tout homme qui reçoit avec foi les promesses de Dieu trouvera le pardon. Le Seigneur ne repousse jamais une âme vraiment contrite. Il nous a laissé cette promesse : " Qu'on fasse la paix avec moi, oui, la paix avec moi." (Esaïe 27.5) " Que le méchant abandonne sa mauvaise voie, et l'homme injuste ses pensées. Qu'il revienne à l'Eternel qui aura pitié de lui et à notre Dieu, qui pardonne abondamment." (Esaïe 55.7) " - Ellen WHITE, Patriarches et prophètes, " Péché et repentir de David ", p. 703, 704.

À méditer

•Discutez en classe de l'inutilité de nos propres " couvertures " comparées à ce que Jésus nous offre volontiers. Que nous offre-t-il et pourquoi est-ce la seule couverture du péché qui guérit et sauve ?

Essayez de rédiger un psaume sur la miséricorde et l'amour de Dieu. Comme David, rédigez-le à partir de votre propre expérience. Apportez-le en classe et faites part aux autres membres.

Les publicités pour détergent qui blanchissent le linge promettent de blanchir et d'adoucir le tissu. Blanchir une tache sans l'adoucir peut troubler le tissu. Adoucir le tissu sans traiter la tache ne le nettoie pas. Pourquoi avons-nous besoin à la fois du pouvoir " blanchissant " de la justice de Dieu et du pouvoir " adoucissant " de sa miséricorde pour laver le vêtement de notre âme ?

Nous sommes parfois malheureux même si nos péchés sont pardonnes, mais n'oublions pas qu'ils ont été pardonnés. Comment prendre clairement conscience que vivre avec les conséquences du péché ne signifie pas que nous n'avons pas été pardonnés ?