>> Lisez Ellen WHITE, Jésus-Christ, ch 19,
p. 165-177; ch 35p.324-333 ; chap. 50, p. 455-458 ; Le ministère
de la guérison, « Du secours dans la tentation
», p.135-143 « Sauvons les intempérants »,
p. 144-154; « Chômage et paupérisme »,
p. 155-170.
«
Les seuls qui navaient pas son approbation éraient
les propres justes qui, se tenant orgueilleusement à
lécart, considérait les autres avec mépris
[...]
Il
faut faire comprendre à tous ceux qui sont tombés
quil nest pas trop tard pour se repentir. Le Christ
honorait lhomme de sa confiance et le mettait ainsi dans
lobligation dêtre fidèle à sa
parole. Il avait de la considération même pour
les plus bas tombés. La haine, la dépravation,
limpureté étaient pour lui un sujet continuel
de souffrance; mais il ne laissait jamais échapper une
parole qui aurait pu montrer que sa sensibilité était
choquée ou ses goûts offensés. Quelles que
fussent la ténacité des préjugés,
les mauvaises habitudes ou les passions dominantes des êtres
qui lentouraient, il les recevait avec pitié et
avec tendresse. Animés de son esprit, nous considérerons
tous les hommes comme nos frères, ayant les mêmes
tentations et les mêmes épreuves que nous, tombant
et essayant de se relever, luttant contre le découragement
et les difficultés, avides d'aide et de sympathie. Alors
nous nous approcherons deux en prenant garde de ne jamais
les décourager ni les repousser, mais en nous efforçant
déveiller lespoir dans leur cur. »
Ellen WHITE, Le ministère de la guérison,
« Du secours dans la tentation », p.138, 139.