«
Depuis lépoque de Paul jusquà nos
jours, Dieu a appelé, par son Saint-Esprit, à
la fois les Juifs et les païens. "Car devant Dieu,
Il ny a point dacception de personne" [Rm 2.11,
Segond révisée à la Colombe], déclare
Paul. Lapôtre se considérait lui-même
comme débiteur des grecs et des barbares ainsi que des
Juifs, mais il ne perdait jamais de vue les privilèges
que ceux-ci possédaient par rapport aux autres. Il écrit
à leur sujet: ... et tout dabord en ce que
les oracles de Dieu leur ont été confiés.
[Rm 3.2, Segond révisée à la Colombe] "LEvangile,
dit-il encore, est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque
croit, du juif premièrement, puis du Grec" [Rm 1.16].
» - Ellen G. White, Conquérants pacifiques,
Le salut pour les juifs p. 337.
Quand
Il sadressait aux Thessaloniciens, Paul recourait aux
prophéties de lAncien Testament annonçant
le Messie [...] Par le témoignage inspiré de Moise
et des prophètes, lapôtre prouvait péremptoirement
que Jésus de Nazareth sidentifiait avec le Messie,
et montrait que depuis Adam, cétait la voix du
Christ qui se faisait entendre par celle des patriarches et
des prophètes. » - Idem, p. 197, 198. (Voir
la série très cornplète des textes tirés
de lAncien Testament, p. 198 à 202.)
Lors
de la proclamation finale de lÉvangile, une uvre
spéciale devra être accomplie pour les catégories
de personnes négligées jusque-là. Dieu
attend de ses messagers quils portent un intérêt
particulier au peuple juif dispersé dans le monde entier
[. . .] Lorsquils discerneront le Christ de la dispensation
évangélique à travers les pages de lAncien
Testament, lorsquils comprendront combien clairement le
Nouveau Testament explique lAncien, alors ils se réveilleront
de leur assoupissement, et reconnaîtront le Christ comme
Sauveur du monde.
Idem, p. 338.