Pour plus d’informations sur le thème de
cette semaine, lire Ellen G. White, « A la fête
des Tabernacles, » pp. 441-448 ; « Parmi
les pièges, » pp 449-458, dans Jésus-Christ.
« Trois fois par an, les Juifs devaient se rassembler
à Jérusalem pour des but religieux. Caché
dans la colonne de nuée, le Chef invisible d’Israël
avait donné des directions au sujet de ces assemblées.
Ces directions ne purent être suivies pendant la captivité
; mais dès que les Juifs furent rétablis dans
leur pays, ils observèrent nouveau ces fêtes de
commémoration. Par ces anniversaires, Dieu voulait se
rappeler au souvenir de son peuple. » Ellen G. White,
Jésus-Christ, p. 441.
« Il était naturel que Joseph et Marie considéraient
Jésus comme leur propre enfant ; il était toujours
avec eux, et ressemblait, sous bien des rapports, aux autres
enfants ; il leur était bien donc difficile de se rendre
compte de sa qualité de Fils de Dieu. Ils se trouvaient
exposés au danger de ne pas apprécier le bienfait
accorde par la présence du Sauveur du monde. Le chagrin
de la séparation et le tendre reproche qu’impliquaient
les paroles de Jésus, avaient eu pour but de leur montrer
combien était sacré le dépôt à
eux confiés. » Ellen G. White, Jésus-Christ,
p. 64.
• Méditer sur cette incroyable vérité
: bien que Jésus lui-même ait institué ces
lois, en prenant notre humanité, il s’y est soumis.
Qu’est-ce que cela nous dit sur le caractère de Dieu
?
• Essayez de vous mettre à la place
de Joseph et Marie. Est-il surprenant qu’ils n’aient
pas compris pleinement tout ce qui était associe à
Jésus ? N’y a-t-il pas de nombreuses choses à
propos de Jésus que nous ne comprenons pas non plus ? Comment
apprendre à faire confiance et à obéir, malgré
tout ce que nous ne comprenons pas ?
• Que répondre un chrétien qui affirmerait
que nous devons observer les fêtes religieuses ? Suggestion
: vous pouvez commencer par demander : « Comment avez-vous
l’intention de les observer, étant donné que
les fêtes étaient toutes axées sur le temple,
qui a été détruit il y a bien longtemps,
ainsi que l’aspersion de sang, qui a cessé ? »