Lisez Ellen G. White, «Church
Discipline» p. 260-264; « Consider One Another »
pp. 260-266, dans Testimonies for the Church, vol. 7.
« Portez les fardeaux les uns des autres, et vous
accomplirez ainsi la loi du Christ. A nouveau, notre devoir
est clairement exposé devant nous. Comment ces disciples
déclarés du Christ peuvent-ils considérer
ces injonctions inspirées autant à la légère
?...
« Nous connaissons si peu nos propres curs,
et avons si peu conscience de notre propre besoin de la miséricorde
divine. Cest la raison pour laquelle nous chérissons
si peu de cette douce compassion que Jésus nous manifeste,
et que nous devrions manifester les uns envers les autres. Rappelons-nous
que nos frères sont faibles, des mortels sujets à
lerreur, tout comme nous-mêmes. Supposez quun
frère a été vaincu par la tentation, par
manque de vigilance, et a commis quelque erreur, contraire à
sa conduite générale. Quelle attitude avoir avec
lui ? Nous apprenons de lhistoire biblique que des hommes
que Dieu avait employés pour accomplir une uvre
grande et bonne ont commis des péchés très
graves. Le Seigneur ne les a pas laissés faire sans leur
faire de reproches, et il ne sest pas non plus débarrassé
de ses serviteurs. Quand ils se sont repentis, il leur a gracieusement
pardonné, et leur a révélé sa présence,
et a agi à travers eux. Quils considèrent,
pauvres et faibles mortels, combien grand est leur propre besoin
de pitié et de patience divines ainsi que de la part
de leurs frères. Quils prennent garde à
la façon dont us jugent et condamnent les autres.
» Ellen G. White, The Signs of the Times, January
25, 1883.