VENDREDI 23 MAI, 2014


Lisez Ellen G. White, «Church Discipline» p. 260-264; « Consider One Another » pp. 260-266, dans Testimonies for the Church, vol. 7.

« Portez les fardeaux les uns des autres, et vous accomplirez ainsi la loi du Christ. A nouveau, notre devoir est clairement exposé devant nous. Comment ces disciples déclarés du Christ peuvent-ils considérer ces injonctions inspirées autant à la légère ?...

« Nous connaissons si peu nos propres cœurs, et avons si peu conscience de notre propre besoin de la miséricorde divine. C’est la raison pour laquelle nous chérissons si peu de cette douce compassion que Jésus nous manifeste, et que nous devrions manifester les uns envers les autres. Rappelons-nous que nos frères sont faibles, des mortels sujets à l’erreur, tout comme nous-mêmes. Supposez qu’un frère a été vaincu par la tentation, par manque de vigilance, et a commis quelque erreur, contraire à sa conduite générale. Quelle attitude avoir avec lui ? Nous apprenons de l’histoire biblique que des hommes que Dieu avait employés pour accomplir une œuvre grande et bonne ont commis des péchés très graves. Le Seigneur ne les a pas laissés faire sans leur faire de reproches, et il ne s’est pas non plus débarrassé de ses serviteurs. Quand ils se sont repentis, il leur a gracieusement pardonné, et leur a révélé sa présence, et a agi à travers eux. Qu’ils considèrent, pauvres et faibles mortels, combien grand est leur propre besoin de pitié et de patience divines ainsi que de la part de leurs frères. Qu’ils prennent garde à la façon dont us jugent et condamnent les autres. » Ellen G. White, The Signs of the Times, January 25, 1883.


À méditer

 

• Réfléchissez au paragraphe ci-dessus tiré de la revue Signs of the Times. Pourquoi est-ce si important d’accorder la grâce à ceux qui tombent dans le péché?

• Pensez à quelques personnages bibliques bien connus qui sont tombés dans le péché, mais que Dieu a pardonnés et a continué à employer. Quelle leçon importante trouve-t-on pour nous dans ces exemples?

• De quelles manières peut-on appliquer la discipline d’église tout en faisant preuve de grâce et de miséricorde envers ceux parmi nous qui tombent dans le péché ? Pourquoi devons-nous considérer ces deux idées, la discipline et la grâce, comme non contradictoires?